Jardin

Le jardin est paradis lorsqu’il rend lisibles les signes de l’union sacrée de l’homme et de la nature.


Union par la diversité des plantes, des arbustes et des arbres pour la plupart plus que végétaux car porteurs d’un immatériel symbolique dont ils se sont nimbés du fait du regard de l’homme.
Union par le jeu humble de la nature dont la beauté n’est pas jalouse de celle des sculptures posées là par l’homme au terme d’une jouissance partagée avec l’acier.
Union par le rassemblement communautaire de plus de 300 rosiers dont la beauté est à la fois unique et universelle, à l’image de celle de l’âme de l’homme.
Union par l’attention et le respect accordés à une faune endémique qui nous gratifie de son aide directe ou de ses leçons de bienséance.   

Le jardin s’étend sur environ 2 hectares. La plus grande partie domine la galerie. Il s’étage sur une trentaine de terrasses appelées faysses soutenues par des murs montés conformément à la tradition du pays, en pierres sèches de grès.